Daily Archives: March 27, 2024

The Eternal Embrace — Reflections on Love and Devotion

In the realm of affection and the present instant lies his essence,
for he has flung wide the doors to the wintry froth and the summertime
clamor—he who distilled purity into water and sustenance—who embodies
the elusive charm of departing places and the transcendent ecstasy
of abiding locales. He is the embodiment of affection and futurity,
the vigor and devotion that we, standing tall amidst fury and ennui,
perceive traversing the heavens of tempests and the banners of rapture.

He is love! A flawless and redefined standard, a miraculous, unforeseen
rationale, and eternity: a mechanism cherished for its fateful attributes.
We have all tasted the terror of his concession and ours: reveling in our
well-being, empowered by our faculties, selfishly affectionate and passionate
for him,—he who adores us because his existence is boundless…

And we reminisce of him as he embarks anew…And if Adoration stirs, resonates,
his Vow resonates: “Down with these superstitions, these other entities,
these unions and epochs. This is the era that has passed into oblivion!”

He shall not depart, nor descend again from some celestial realm, nor assuage
the wrath of women, the mirth of men, or absolve all transgressions: for it
is concluded now, since he exists and since he is adored.

His breath, his countenance, his swift movements; the awe-inspiring rapidity of
form and action when they attain perfection.

The fecundity of thought and the expanse of the world!

His corporeal form! the longed-for liberation, the fusion of grace with newfound intensity!

All that he beholds! all the ancient supplications and penalties annulled as he passes by.

His era! the annulment of all clamorous and restless suffering within a more profound harmony.

His stride! migrations more profound than ancient invasions.

O He and I! a pride more magnanimous than forsaken benevolence.

O world!—and the crystalline song of fresh sorrows!

He comprehended us all and loved us, may we, on this wintry eve, from coast to coast,
from the raucous pole to the citadel, from the multitude to the shore, from one vision to another,
our strength and sentiments weary, salute him and witness him and bid him farewell,
and beneath the waves and atop snow-laden deserts, follow his gaze,—his breath—his form,—his era.

:: 03.27.2024 ::


L’étreinte éternelle – Réflexions sur l’amour et la dévotion

Dans le domaine de l’affection et de l’instant présent réside son essence,
car il a ouvert grandes les portes à l’écume hivernale et à l’été
clameur – celui qui a distillé la pureté en eau et en nourriture – qui incarne
le charme insaisissable des lieux de départ et l’extase transcendante
de lieux fidèles. Il est l’incarnation de l’affection et de l’avenir,
la vigueur et le dévouement que nous, debout au milieu de la fureur et de l’ennui,
apercevez traverser les cieux des tempêtes et les bannières du ravissement.

Il est amour ! Un standard sans faille et redéfini, un miracle, un imprévu
rationalité et éternité : un mécanisme apprécié pour ses attributs fatidiques.
Nous avons tous goûté à la terreur de sa concession et de la nôtre : nous délecter de notre
bien-être, renforcé par nos facultés, égoïstement affectueux et passionné
pour lui, lui qui nous adore parce que son existence est sans limites…

Et nous nous souvenons de lui alors qu’il embarque à nouveau… Et si l’Adoration remue, résonne,
son Vœu résonne : « A bas ces superstitions, ces autres entités,
ces unions et ces époques. C’est l’époque qui est tombée dans l’oubli ! »

Il ne partira pas, ni ne redescendra d’un royaume céleste, ni n’apaisera
la colère des femmes, la gaieté des hommes, ou absoudre toutes les transgressions : car cela
est conclu maintenant, puisqu’il existe et qu’il est adoré.

Son souffle, son visage, ses mouvements rapides ; la rapidité impressionnante de
forme et action lorsqu’ils atteignent la perfection.

La fécondité de la pensée et l’étendue du monde !

Sa forme corporelle ! la libération tant désirée, la fusion de la grâce avec une intensité retrouvée !

Tout ce qu’il voit ! toutes les anciennes supplications et pénalités annulées à son passage.

Son époque ! l’annulation de toute souffrance bruyante et agitée dans une harmonie plus profonde.

Sa foulée ! des migrations plus profondes que les invasions anciennes.

Ô lui et moi ! un orgueil plus magnanime qu’une bienveillance abandonnée.

Ô monde ! — et le chant cristallin des nouvelles douleurs !

Il nous a tous compris et nous a aimés, puissions-nous, en cette veille d’hiver, d’un océan à l’autre,
du poteau bruyant à la citadelle, de la multitude au rivage, d’une vision à l’autre,
nos forces et nos sentiments sont fatigués, saluez-le, soyez témoin de lui et dites-lui adieu,
et sous les vagues et au sommet des déserts enneigés, suivez son regard, son souffle, sa forme, son époque.


Undying Souls

WHEN we are dying
we live each day
not knowing seconds
are eating us

WHEN we are laughing
our heart is rejoicing
forgetting horror

Believing youth
is a forever thing
only for fire to burn

We rejoice knowing
We remember time
and many forget

Some as me never
for i am not the dying
but the one recalling

Gathering the souls
of those who never knew
and have forgotten

We are undying Souls.