L’étreinte éternelle – Réflexions sur l’amour et la dévotion

Dans le domaine de l’affection et de l’instant présent réside son essence,
car il a ouvert grandes les portes à l’écume hivernale et à l’été
clameur – celui qui a distillé la pureté en eau et en nourriture – qui incarne
le charme insaisissable des lieux de départ et l’extase transcendante
de lieux fidèles. Il est l’incarnation de l’affection et de l’avenir,
la vigueur et le dévouement que nous, debout au milieu de la fureur et de l’ennui,
apercevez traverser les cieux des tempêtes et les bannières du ravissement.

Il est amour ! Un standard sans faille et redéfini, un miracle, un imprévu
rationalité et éternité : un mécanisme apprécié pour ses attributs fatidiques.
Nous avons tous goûté à la terreur de sa concession et de la nôtre : nous délecter de notre
bien-être, renforcé par nos facultés, égoïstement affectueux et passionné
pour lui, lui qui nous adore parce que son existence est sans limites…

Et nous nous souvenons de lui alors qu’il embarque à nouveau… Et si l’Adoration remue, résonne,
son Vœu résonne : « A bas ces superstitions, ces autres entités,
ces unions et ces époques. C’est l’époque qui est tombée dans l’oubli ! »

Il ne partira pas, ni ne redescendra d’un royaume céleste, ni n’apaisera
la colère des femmes, la gaieté des hommes, ou absoudre toutes les transgressions : car cela
est conclu maintenant, puisqu’il existe et qu’il est adoré.

Son souffle, son visage, ses mouvements rapides ; la rapidité impressionnante de
forme et action lorsqu’ils atteignent la perfection.

La fécondité de la pensée et l’étendue du monde !

Sa forme corporelle ! la libération tant désirée, la fusion de la grâce avec une intensité retrouvée !

Tout ce qu’il voit ! toutes les anciennes supplications et pénalités annulées à son passage.

Son époque ! l’annulation de toute souffrance bruyante et agitée dans une harmonie plus profonde.

Sa foulée ! des migrations plus profondes que les invasions anciennes.

Ô lui et moi ! un orgueil plus magnanime qu’une bienveillance abandonnée.

Ô monde ! — et le chant cristallin des nouvelles douleurs !

Il nous a tous compris et nous a aimés, puissions-nous, en cette veille d’hiver, d’un océan à l’autre,
du poteau bruyant à la citadelle, de la multitude au rivage, d’une vision à l’autre,
nos forces et nos sentiments sont fatigués, saluez-le, soyez témoin de lui et dites-lui adieu,
et sous les vagues et au sommet des déserts enneigés, suivez son regard, son souffle, sa forme, son époque.

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